L'Homme avait pris l'habitude de filmer nos aventures à 3.
A chaque fois.
Il aimait se branler en regardant les vidéos de moi se faisant prendre par d'autres hommes et jouissant sur ces queues de passage, ces "substituts de gode" comme il les appelait.
Maintenant quand j'abordais un homme sur le site, il fallait obligatoirement que je leur demande si ça ne les dérangeait pas qu'une caméra soit le témoin de nos ébats en trio. La plupart du temps ils acceptaient, mais souvent le fait d'être filmé les décontenançait un peu.
Bref, là n'est pas le propos, mais je reviendrais sur ces lignes plus tard dans d'autres textes, d'autres souvenirs.
Aujourd'hui, je vais vous parler de D.
D était un homme délicat. Ces e-mails n'étaient jamais crus. Il aimait dire qu'il faisait dans le porno-chic plutôt que dans le porno-hard. On a accroché presque de suite et ces écrits érotiques me changeaient des "J'ai envie de te défoncer la chatte", mots que je lisais plus souvent.
C'est le seul mec à qui je n'ai pas demandé des photos de son visage rapidement. Nos échanges par mails me faisaient mouiller presque à chaque fois et se terminaient souvent par un gode dans ma chatte tout en lisant ses textes scénarisés, jamais vulgaires.
Le fait de ne pas encore avoir vu sa tête me permettait de laisser aller mon imagination débordante. Lui avait vu mes photos et mes tenues sexy, mes poses lascives, mes cuisses écartées, et tout ça l'inspirait.
ça a durer une semaine.
Puis ma curiosité a pris le pas sur le reste et j'ai voulu voir qui se cachait derrière ces récits excitants.
Il n'était pas mon genre d'homme du tout, mais il avait un certain charme et je me voyais mal le laisser en plan après les conversations torrides que l'on avait eu.
Nous l'avons donc invité à la maison. Avec D nous nous étions mis d'accord sur le fait qu'il arriverait en costume de travail et que moi je porterais une robe moulante et sexy qui laisserait apercevoir mes porte-jarretelles, tenue qu'il adorait.
D était expérimenté et c'est avec beaucoup d'assurance qu'il passa la porte de chez nous.
Il était élégant et bien élevé.
Nous avons discuté de nos expériences passées des uns et des autres. Jusque là, l'Homme et moi avions eu de la chance de tomber sur des personnes courtoises, intéressantes avec qui on s'est éclaté niveau baise.
A ma grande surprise, c'est D qui a fait le premier pas pour lancer les "hostilités". L'Homme et moi n'étions pas choqués par son audace, mais personnellement, il m'a un peu pris de court.
Je commençais à embrasser D. Je ne vais pas le cacher, j'avais moins de désir pour lui que pour les hommes qui l'ont précédé. Mais il était là, l'action avait débuté et je n'allais pas envoyer tout bouler.
Je lui ai défait sa cravate et ouvert sa chemise. Ma langue parcourait son corps pour descendre jusqu'au bas ventre. Je passai ma langue dans le haut du pantalon, histoire de faire monter la pression. D a enlevé sa ceinture et descendu son pantalon. Et là j'ai eu un petit choc... Je ne parle pas de sa bite, mais plutôt du sous vêtements dans lequel elle était. Il portait une espèce de string en cuir avec une ouverture sur le côté. Ce genre de truc, ce n'est pas vraiment pas à mon goût, et heureusement que ma tête était penchée vers sa queue et que la lumière était tamisée, car je me souviens avoir esquissé un sourire. J'ai essayé de reprendre mes esprits quand D m'a dit: "Tu aimes?"
J'ai émis un petit gémissement en guise de "semi" affirmation, et pour passer à autre chose j'ai commencé à le sucer.
Pour la 1ere fois, l'Homme s'était mis en retrait et regardait la scène en spectateur, le camescope à côté de lui et sa queue longue et dure à la main.
J'avais du mal à être très excitée par D.
Je me suis dirigée vers l'Homme qui était assis sur un fauteuil. Je me suis mise à genoux devant lui pour remplir ma bouche de cette bite que je connaissais parfaitement et qui m'excitait toujours autant depuis autant d'années. Je me suis dit que ça me donnerait plus d'entrain pour la suite. Pendant que je pompais l'Homme, D s'était mis derrière mon cul qu'il léchait avec beaucoup d'ardeur et en répétant toutes les 3 mn "Ton cul me rend fou". Je commençai à avoir du mal à cacher le fait que le désir que j'avais pour D était feint. L'Homme l'avait compris. J'écartai les cuisses au maximum tout en continuant de m'occuper de queue de l'Homme, pour faire comprendre à D qu'il fallait qu'il me bouffe la chatte. Ce qu'il fit parfaitement bien et la mouille commençait enfin à être abondante. Malheureusement, D dût s'attarder peut-être 5 mn maxi sur mon clito, puis sans avertir, il glissa sa queue dans mon minou.
4 coups de reins plus tard, il jouissait... Oui, 4, pas plus.
Une vraie déception... la seule qu'il y ait vraiment eu dans ma vie de libertine.
Une, sur le nombre d'aventures coquines que j'ai eu avec l'Homme ou sans lui, c'est peu vous me direz, mais du coup c'est plus marquant.
Je n'ai jamais voulu revoir D. Cette expérience m'avait écoeuré, si bien que j'ai voulu faire une pause dans nos expériences libertines pendant quelques semaines... avant de passer à tout autre chose...
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