Partager l'article ! Le trio qui dérape (2ème partie): Le lendemain de notre soirée avec M, les textos ont commencé. Enfin je dévrais dire plus "sextos ...
Le lendemain de notre soirée avec M, les textos ont commencé.
Enfin je dévrais dire plus "sextos" que "textos".
On a jamais réussi à tenir une conversation de plus de 4 phrases sans parler de cul.
ça partait en live à chaque fois.
Sans exception.
A force de se chauffer et de se donner à la masturbation par téléphone interposé, ça nous a forcément frustré.
Les photos coquines qu'on s'envoyait en plus des textes pornos fantasmés n'ont pas arrangé la chose.
J'avais envie de le revoir pour une partie de baise endiablée, juste lui et moi mais dans mon for intérieur je savais que ce serait trahir l'Homme.
En même temps l'interdit c'est excitant... trop même.
Et la passion a fini par l'emporter sur la raison et j'ai proposé un rendez-vous secret à M.
Il a bien évidemment accepté tout de suite. Il voulait me montrer qu'il était capable de bien mieux que sa prestation à la maison sous les yeux de l'Homme.
Il avait pas mal de fantasmes dont il m'avait fait part. Il savait que j'étais capable de les réaliser avec lui.
On s'est donné rendez-vous un matin dans un parking de ma ville, un peu à l'écart.
J'avais dit à l'Homme que je passerais la matinée avec une amie et que je mangerais avec elle. Il me fallait bien une excuse.
Je suis partie de chez moi en jeans et pull mais j'avais pris soin de prendre avec moi un sac de sport où j'avais mis tout un tas de choses qui pourraient me servir. Tenue sexy, guépière et bas, foulard et mon gode préféré.J'étais très excitée à l'idée de retrouver M et je crois que mon string était déjà trempée avant même que je me retrouve seule avec lui.
Arrivée sur le parking, j'ai vite reconnu sa voiture. Il faut dire que vu l'heure matinale, il y avait peu de monde. Son coupé Mercedes aux vitres teintées ne passait pas inaperçu aussi. Pour le côté discret, on repassera. Mais grace aux vitres j'étais rassurée de savoir qu'on ne nous verrait pas. Quand je suis rentrée dans la voiture, il m'a embrassé fougueusement... le ton était donné.
Ensuite, nous sommes partis dans un hôtel un peu excentré. Le trajet était court et tant mieux car il m'intimidait toujours autant et on a pas trop discuté. Arrivés devant l'hôtel, le deal était simple. Je devais prendre une chambre et me préparer pendant que lui m'attendrait sagement dans la voiture jusqu'à ce que je l'appelle pour qu'il me rejoigne. Il m'a donné de l'argent pour la chambre (j'avais l'impression d'être une pute, ce qui rajouta de l'excitation à tout ça), je vais à l'accueil en précisant que je ne serais pas seule, puis je suis montée.
J'étais nerveuse et du coup j'ai mis un peu de temps pour me préparer en galérant un peu avec les clips de ma guépière.
Je me suis installée sur le lit et je lui ai donné le coup de fil de top départ.
Il est entré. Un peu nerveux lui aussi. Il s'est approché du lit assez timidement. Il m'a fait un compliment sur ma tenue qui lui faisait déjà de l'effet. Je me suis mise à genoux sur le lit. Mon visage à la hauteur de son torse.J'ai soulevé son t-shirt et j'ai commencé à le lécher partout. Chaque parcelle de son corps. Il me caressait les cheveux et en m'avançant un peu plus, j'ai senti que sa queue était déjà bien dure à travers son jeans. Il m'a attrappé par les cheveux pour me hisser jusqu'à sa bouche. Le contact de sa langue sur la mienne me faisait tellement d'effet que je sentais ma cyprine inonder mon string. Tout en l'embrassant, je lui retirais sa ceinture et les boutons de son jeans. Son caleçon était prêt à exploser tellement il bandait fort. je commençai à lui caresser sa queue à travers le caleçon, puis je lui lachai la bouche pour mordiller cette bite énorme que je voulais au plus vite au fond de ma gorge. Il s'est mis sur le lit, assis contre la tête de lit. Là je commençai une pipe endiablée. J'étais déchainée et je me lachai complètement. J'adorais le regarder droit dans les yeux pendant que je faisais mes va et vient. Lui aussi s'est laché. Il me tirait les cheveux et appuyait ma tête pour que je le suce encore plus profond. Sa queue butait contre le fond de ma gorge et je manquais de m'étouffer plusieurs fois, faisant monter ma salive qui lubrifiait sa bite dure.
Puis, je pris l'initiative d'attrapper le foulard que j'avais amené. Je lui demandai de me le mettre sur les yeux. Qu'il fasse ce qu'il voulait de moi. J'étais sur le dos à attendre, chaque effleurement me faisait monter encore plus le désir que j'éprouvais pour lui. Il m'écarta les cuisses violemment puis il introduisit sa langue dans ma chatte qui ruisselait. Ses coups de langue étaient savoureux, et je me retenais de jouir. Un supplice... tellement bon! Il s'arrêta longuement sur mon clito enflé et m'enfonça un doigt, puis deux, puis trois sous mes supplications. Je jouis si fort que tout l'hôtel à du m'entendre.
Puis il me retourna en levrette, m'appuyant de ses mains pour que je me cambre un maximum. Il me caressait le cul avec sa queue qui était tendue plus que jamais. Son gland caressait à présent mon petit trou, pour ensuite s'introduire d'un coup sec dans ma chatte ouverte de mon orgasme précédent. Sa bite était puissante. Je le suppliai de me traiter de "petite salope gouffre à bites". Il aimait tellement ça que plus il m'insultait, plus ses coups de reins étaient violents et si bons. Mes cris l'excitaient de plus belle et il me mit de grandes claques sur le cul. Du sexe... du vrai... de la bonne baise... comme je l'imaginais avec lui.
Je ne mis pas 2h à jouir une 2ème fois.
Puis, il me retourna, pris mes jambes et me les posa sur ses épaules. Une pénétration profonde qui me transperçait de douleur et de plaisir. Il me défonçait comme une chienne et j'en redemandais encore et encore....
Ensuite il me retira le bandeau. La vue de sa queue qui me démontait me rendit dingue. Je le poussais pour qu'il s'allonge et je remis sa bite pleine de ma mouille dans ma bouche. Je le suçais comme une vraie salope qui voulait sentir son jus dans sa bouche. J'enfonçais cette queue aussi fort que je le pouvais. Je voulais qu'elle m'explose en bouche... et ça n'a pas tardé. Les gliclées de son sperme chaud et épais étaient un pur délice. Je n'en laissai pas une goutte. Nos corps étaient brulants.
Quelques heures de sexe pur, complice et torride.
Quelques heures pour assouvir nos pulsions, celles qui nous avaient animé dès le premier regard.
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