Partager l'article ! Une rencontre très "nature": La seule et unique condition pour ce retour au libertinage en solo est celle imposée par l'Homme. Le cam ...
La seule et unique condition pour ce retour au libertinage en solo est celle imposée par l'Homme.
Le camescope.
Il est ok pour que je rencontre seule quand bon me semble mais il veut participer en regardant les vidéos que je ferais avec mes amants.
Bien évidemment j'étais d'accord.
La plupart du temps mes partenaires sexuels le sont aussi et je ne cache pas du tout le fait que je sois en couple.
Au contraire, pas d'ambiguité.
Et tout le monde est content.
Donc revenons à mon brun ténébreux...
Bastien de son prénom.
On s'était donné rendez-vous un soir de semaine.
L'Homme était au courant et avait quand même un peu d'apréhension car c'était la 1ere fois que je verrais Bastien. Je serais seule avec lui à 50 bornes de chez moi.
Je comprends les inquiétudes de l'Homme, il y a des tarés partout.
Mais là j'étais confiante pour une raison assez évidente: Bastien était flic (chez eux aussi il peut y avoir des félés vous me direz).
Mais je le sentais bien.
Je promis à l'Homme de lui envoyer un texto quand j'arriverais à bon port.
Justement parlons de l'endroit.
Avec Bastien on n'avait pas du tout défini notre soirée...
Au feeling et à l'arrache on s'était dit.
Peut-être hôtel... peut-être pas.
On s'était donné un point de rdv pour se rejoindre pour ne prendre qu'une voiture ensuite.
J'arrivai la première.
Puis il a débarqué.
Il était aussi beau que sur les photos.
Le charme en plus.
Je le rejoins dans sa voiture direction... inconnue!
On avait envie de fun...
Au bout de 20 mn à chercher, on a fini par s'engouffrer dans un chemin de terre à côté de vignes.
Pas très loin de la route.
On voyait passer les voitures tout près.
Je ne lui ai pas sauté dessus mais presque.
Je vous aurais bien dit que ma culotte était mouillée mais... je n'en portais pas sous ma robe.
Ces baisers étaient délicieux.
J'étais à moitié sur le siège passager, lui sur le siège conducteur et sa main glissa rapidement sous ma robe.
Il fut agréablement surpris de découvrir que je ne portais rien en dessous.
Et il me doigta presque directement, noyant ses doigts dans ma cyprine abondante.
Il ota son pantalon laissant entrevoir sa belle érection à travers son boxer.
Je mordillais sa bite à travers, portée par ses coups de doigts.
"J'ai trop envie de te bouffer!"
Il ouvra la portière de son côté.
Je pris sa place, mes jambes dehors, ma main agrippant le volant.
Il se tenait à genoux à l'extérieur, sa tête entre mes cuisses, me bouffant la chatte goulument.
Il aimait ça, ça se voyait. Sa langue était vraiment experte. Une langue même plus parfaite que celle de l'Homme qui pourtant me connait par coeur.
J'ai du mettre 3 mn à jouir.
Sa langue appuyée contre mon clito a eu raison de moi.
Un orgasme fort.
Et là, j'ai sorti la caméra. Oui, un peu tard... mais je me voyais mal déballer mon matos d'entrée de jeu.
"On passe à l'arrière?"
Il s'assit confortablement. Il bandait grave maintenant.
Je ne pouvais m'empêcher de sucer cette queue droite. Une queue pas très grosse, ni trop longue, mais très belle et la taille parfaite pour ne pas que je m'étouffe en faisant ma gorge profonde.
Il tenait la caméra et me filmait en pleine action. Je me donnais à fond dans cette pipe sachant que le spectacle serait apprécié par l'Homme.
Bastien me dit qu'une de ses dernières expériences niveau pipe fut un semi échec. La fille s'y prenait mal et depuis il avait l'habitude de ne pas laisser ses conquêtes le sucer trop longtemps car ça lui irritait le gland.
Je fis doucement dans un premier temps, laissant ma langue découvrir cette bite sensible. Ne voyant pas de réaction négative de sa part, je continuais un peu plus vite, un peu plus fort, un peu plus profond.
"Putain, tu pompes trop bien. ça faisait longtemps que je n'avais pas autant apprécier une suceuse. T'es juste parfaite. J'adore."
Je le pompais encore et encore, presque jusqu'à le faire jouir... à la limite de la giclée... par moment, il me demandait de faire des pauses faisant durer ainsi le plaisir.
Ensuite il s'allongea sur la banquette arrière et m'asseya sur sa bouche. Les cunni était vraiment sa spécialité. Il faisait ça tellement bien et si fougueusement que je jouis une fois de plus assez rapidement.
La caméra était toujours là, témoin de notre baise dans cette voiture.
J'avais à présent envie de sentir sa queue en moi. Qu'elle remplisse ma chatte et qu'elle comble ce vide qui ne demandait qu'à être rempli. Je m'enfourchai dessus, face à lui qui était assis, m'aidant de mes bras accrochés aux appuis-tête des sièges avants. Je faisais des va et vient assez fort sur sa queue, claquant bien mes cuisses sur les siennes. Il me caressa le clito tout le long de ma chevauchée. Ensuite il me prit en levrette: "Il faut que je vois ton cul de plus près! Ce cul qui m'a fait si envie en photo!"
On commença la levrette dans la voiture, mais il faisait encore chaud en ce mois de septembre et on a vite continuer dehors sur le capot de la voiture à la vue des autres bagnoles qui passaient pas loin.
Il m'appuya le bassin, je me cambrai bien pour m'offrir à lui. J'avais les jambes bien écartées et le pied relevé calé contre le pare-choc.
Il m'embrocha comme une bête en claquant mon petit cul en buse. Il tenait la caméra avec sa 2ème main, se prenant au jeu du réalisateur lubrique.
"Ton cul est vraiment trop beau ma belle. Il faut que j'y fourre ma queue... que je t'encule!"
La 2ème condition pour que j'ai des amants était qu'il fallait que je garde quand même un truc spécial que je ne ferais qu'avec l'Homme... c'était la sodo.
Je refusais poliment. Bastien respecta ce choix mais il se vengea bien en me défonçant la chatte.
Je jouis une fois de plus sous ses coups de reins.
Puis je me suis tournée et me suis mise à genoux devant lui. Je lui retirai la capote. Il savait où je voulais en venir.
Je le suçais à fond et lui demandai de ne pas se retenir pour me juter sur le visage.
Je ne sais pas si c'est le fait de lui avoir dit ça qui l'a trop excité, mais quelques minutes après, il m'arrosait de son foutre épais. Un délice extrème que je léchais d'un coup de langue autour de ma bouche. Bastien m'a sorti un "Wahou!" instantané!
Une belle baise d'une nuit de septembre. Un film hyper coquin dont l'Homme s'est délecté quand je suis rentrée, tellement qu'il a fallu qu'il me saute lui aussi le soir même, la chatte encore ouverte des assauts de Bastien et le visage sentant encore le sperme.
Je dois revoir Bastien bientôt... mes pipes lui manquent.
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