Avant de vivre avec l'Homme, j'habitais seule en centre-ville dans un petit immeuble.

J'étais au dernier étage.

J'avais un sacré vis-à-vis sur l'immeuble d'en face.

Beaucoup de couples âgés vivaient dans cet immeuble.

Mais la meilleure vue que j'avais était sur un couple de mon âge à peu près.

De temps en temps, je regardais ce qu'il se passait malgré moi.

Je ne le faisais pas exprès.

Le genre de réflexe où quand tu vois bouger des gens, ton regard se pose quelques secondes.

Il n'y avait pas de rideaux chez eux en plus.

Difficile de ne pas jeter un coup d'oeil rapide.

Un matin, je vais dans ma salle de bain.

Mes volets étaient toujours entrebaillés dans cette pièce.

J'ai entendu un bruit de freins assez puissant dans la rue.

Et j'ai regardé par ma fenêtre fermée ce qu'il se passait.

Puis mes yeux se sont attardés sur la fenêtre du salon du couple d'en face.

Le mec était seul.

Assis sur son fauteuil, son pc portable devant lui sur la table basse.

Il était en caleçon.

Je ne sais pas pourquoi mais je me suis mise à le bloquer.

Je ne voyais pas ce qu'il mattait sur son pc, mais j'ai très bien vu la suite et ce qu'il faisait lui.

De sa main droite il se caressait.

D'abord par dessus son caleçon.

Puis je l'ai clairement vu sortir sa queue et la prendre en main.

Je ne pouvais m'empêcher de le regarder faire.

Il y allait de bon train sur son manche raide.

Par moment il faisait quelques pauses, surement le temps de zapper sur la scène de cul qu'il mattait.

Je l'observais attentivement, excitée de savoir qu'il ne pouvait pas me voir derrière mes volets.

Je ne voyais pas très bien sa bite, mais les mouvements de sa main, eux, étaient parfaitement visibles.

J'ai commencé à me caresser aussi.

J'ai glissé ma main dans ma culotte et je fus assez surprise de constater que de jouer les voyeuses m'avait passablement faite mouiller.

J'étais debout devant ma fenêtre, et mes doigts entraient dans ma chatte humide au rythme de sa main.

Quand il s'arrêtait, je m'arrêtais aussi.

Quand il se branlait plus fort et plus vite, j'enfonçais mes doigts plus profond et plus rapidement.

Je voyais bien sa tête de profil.

Il aimait ça.

Je continuais à le matter, me masturbant toujours au même rythme que lui.

Je ne sais pas pourquoi, mais je m'étais mise en tête de jouir en même temps que lui.

ça a bien durer un quart d'heure.

Et je dus me retenir de venir plusieurs fois.

C'est fou comme ça pouvait m'exciter de le voir faire.

Puis ses gestes furent encore plus rapide, je le voyais cracher sur sa queue par moment.

Je me doutais qu'il n'allait pas tarder à gicler sévère.

Ma masturbation frénétique n'attendait que ça.

Et ce fut l'explosion!

Quand il lacha son foutre, je poussai un cri de jouissance extrème.

D'avoir été spectatrice de cette scène privée me gêna un peu après tout de même, je l'avoue.

J'avais fait la voyeuse le temps d'une branlette et j'avais aimé ça.